L’aisance ressentie en cuisine est fonction en partie des ustensiles et appareils qu’on utilise. Si vous faites partie de ces cuisiniers qui n’aiment pas se prendre la tête pour faire à manger, vous êtes sans doute tombé sous le charme visuel du couteau japonais Santoku. Fabriqué dans la pure tradition de la coutellerie japonaise, c’est un matériel qui accroche du regard et convainc par ses performances de coupe. Actuellement votre préoccupation est très certainement de savoir si vous devez le prendre pour vos prochaines préparations culinaires. Cela dépend véritablement de vos attentes vis-à-vis d’un tel ustensile. Si ce que vous recherchez c’est un grand confort d’utilisation, une durabilité sur le long terme et surtout une efficacité complète, il y a des chances que vous trouviez satisfaction avec cette pièce. Pour vous en rassurer, informez-vous davantage à son propos dans les lignes qui suivent.
Le Santoku Seki est-il recommandé?
Oui il l’est. Les japonais sont maîtres dans l’art de détailler et éplucher, ceci grâce àleur savoir-faire bien-sûr, mais aussi et surtout grâce à leurs couteaux de qualité. Ces derniers sont robustes, très tranchants et adaptés à presque tout type d’aliments. Ainsi, avec le couteau de cuisine japonais Santoku ,vous n’aurez aucun mal à faire des découpes précises, réaliser de magnifiques dés ou d’autres formes au choix. Cependant, ce tranchant peut aussi vous réserver de mauvaises surprises d’où l’importance de ne pas laisser ce couteau à la portée des enfants. Par ailleurs, il est également crucial de ne jamais le mettre dans le lave-vaisselle, car les produits très agressifs et la chaleur sont nocifs pour son alliage et son manche en bois. Pour qu’il tienne plus longtemps il est préférable de le laver à la main et éviter de trancher des os ou objets durs.
Les avantages et inconvéniants du Santoku Seki
Ça fait des nombreuses années que je cuisine et bien évidemment j’ai déjà eu à utiliser plusieurs types de couteaux. Mais depuis que j’ai commencé à utiliser le couteau de cuisine japonais Santoku de 17 cm, j’ai eu un coup de cœur particulier pour cet ustensile. Son acier de qualité est vraiment robuste, durable et permet une coupe précise pour chaque préparation. Que l’on coupe de la viande, du poisson, des légumes ou des fruits, ce couteau ne déçoit pratiquement jamais. Son niveau de précision est absolument remarquable, vous n’aurez quasiment rien à en redire. Son manche ergonomique offre un beau confort et facilite l’utilisation. Il est vrai qu’il n’est approprié pour tout ce qui est dur, mais pour le reste je vous assure que ce couteau saura amplement vous combler. Et même si vous ne l’achetez pas pour vous, ce serait un cadeau idéal pour un proche cuisinier.
Acier très robuste
La particularité du couteau japonais, c’est son alliage spécifique d’acier carbone forgé avec de l’acide borique. Elle donne à sa lame une dureté qui lui confère une très grande notoriété à travers le monde. L’acier au carbone est l’un des meilleurs matériaux et permet d’obtenir une durabilité et une résistance accrues. Lorsque cet acier est forgé, il possède une excellente résistance ce qui lui permet de supporter de fortes contraintes ainsi que toutes sortes de chocs et charges. En plus de cela, ils sont également flexibles, solides et fiables. C’est un ustensile de cuisine sûr qui, bien utilisé, vous évitera un certain stress et d’avoir à trop réfléchir lorsque vous devrez vous en servir.
L’acide borique ici est utilisé pour prémunir la lame en acier des attaques de l’oxydation et aussi mieux la sceller. Ainsi, cette lame est dotée d’une certaine résistance à la rouille et la corrosion. Ce qui est idéal quand on envisage de profiter de son couteau aussi longtemps que possible. Pour y parvenir, ces couteaux japonais sont créés en plusieurs étapes suivant la tradition, ils nécessitent du temps et la maîtrise des compétences manuelles qui sont transmises de génération en génération. Heureusement que cette tradition de conception est payante, car au finish, on obtient un couteau de cuisine de très haute qualité.
Excellent tranchant
Couteau d’origine asiatique, une de ses caractéristiques principales est son tranchant bien droit. Il est à juste titre considéré comme étant le cousin du couteau de chef européen. Toutefois, à l’inverse de celui-ci, la lame du couteau de cuisine japonais santoku offre un tranchant droit sur toute la longueur jusqu’à la pointe aplatie. Avec ce tranchant droit, il est certes très difficile de réaliser une coupe avec un mouvement de balancier, mais on peut néanmoins utiliser plus facilement toute la longueur de la lame pour trancher les aliments. Ce qui est à notre humble avis bien plus pratique.
La forme de cette lame permet d’effectuer une coupe dite « poussée » en tenant la base de la lame entre le pouce et l’index. Grâce à cette technique vous pouvez bénéficier davantage du tranchant exceptionnel de la lame en réalisant des coupes en diagonale, de haut en arrière ou encore du bas vers l’avant. Cette technique nécessite de la pratique et un certain savoir-faire mais qui une fois maitrisée, elle vous permettra de profiter encore mieux de votre lame. Cette lame plate et fine que celle du couteau de chef européen est très appréciée des chefs et cuisiniers amateurs car elle est plus maniable.
Quasiment tout terrain
Ce couteau peut traiter une myriade d’aliments, notamment le poisson, la viande, les fruits, les noix et les légumes, et constituent l’outil parfait pour des tâches telles que couper en dés, trancher, hacher et émincer. C’est certainement le couteau le plus polyvalent parmi toutes les formes de lame qui existent dans la coutellerie japonaise, voire dans l’univers coutelier en général. Santoku signifie “trois vertus” en japonais, faisant référence à la triade « découper, trancher, émincer ».Ce couteau est muni d’une lame haute et d’un bord droit ; sa pointe large lui permet de s’enfoncer dans la viande, facilitant ainsi la découpe.
La hauteur de lame aide grandement pour émincer en particulier les oignons, car celle-ci vous permet de minimiser vos efforts pour un maximum de résultat. Il est généralement comparé au couteau de chef français. La différence principale entre les deux est la forme de la lame : le couteau Santoku se veut plus végétarien dans son utilisation, et l’autre se veut plus carnivore à cause de son bout plus pointu. Néanmoins, le Santoku est adapté à tous types d’utilisateurs et d’utilisations, que vous soyez professionnel ou amateur. En bref, cet ustensile est une magnifique synthèse de tout ce dont un cuisinier peut rêver.
Poignée ergonomique
Le manche en bois du couteau de cuisine japonais santoku a été spécialement conçu de manière ergonomique pour favoriser au mieux le confort et le contrôle durant l’usage. Ce manche de forme cylindrique spécifiquement travaillé assure une facilité d’utilisation maximum. Ce type de couteau est conçu d’une telle manière pour assurer une précision et une aisance de manipulation optimales. Ils constituent un outil vraiment formidable pour tous les cuisiniers professionnels ou amateurs mais aussi pour tous les simples passionnés d’alimentation. De toute façon, il est évident que cet ustensile a été conçu pour être utilisé simplement et facilement, quelles que soient les circonstances de préparation.
Le manche qui est fabriqué avec du bois léger et adhésif favorise une prise en main agréable afin que votre coupe soit des plus aisées. Il offre aux utilisateurs une prise antidérapante, même lorsque leurs mains sont mouillées. Cela est vraiment idéal et utile lorsqu’on cuisine et qu’on doit régulièrement rincer les aliments avant de les découper par la suite. On économise le temps perdu pour se sécher les mains par précaution avant de prendre en main le couteau. Une routine qui, on doit bien l’avouer, est souvent plutôt fastidieuse.
Découpe rapide et facile
Les couteaux Santoku sont en général beaucoup plus légers que n’importe quel couteau traditionnel, ce qui permet d’atténuer la déformation et une coupe plus rapide. Peu importe qu’il s’agisse de viande, poisson ou légumes, le couteau Santoku peut gérer n’importe quoi. Certaines personnes aiment le « mouvement de balancement » lors du découpage, mais souvent le découpage direct offre beaucoup plus de rapidité. Avec l’utilisation d’un couteau Santoku, le mouvement de basculement est limité, mais des tranches minces sont très bien obtenues en raison de son mouvement de coupe rapide et simple. Il faut dire que sa lame de 17 cm de long aide beaucoup à ce niveau. Du moment que vous faites attention à bien prendre soin de ce couteau, il saura vous donner d’excellents résultats. Du fait de sa finesse et sa légèreté, ce modèle facilitera grandement vos découpes en cuisine et les rendra plus agréables.
Incompatible avec le lave-vaisselle
L’un des plus gros points faibles de ce couteau, sinon peut-être même le plus à décrier, est certainement le fait qu’il n’est pas lavable en machine. En effet, ne mettez jamais votre couteau de cuisine Santoku au lave-vaisselle, car les produits très agressifs utilisés pour le lavage ainsi que la chaleur nuisent à son alliage spécial ainsi qu’à son manche en bois. Vous serez donc souvent obligés de le laver à la main afin de pouvoir l’utiliser un peu plus longtemps. Il est évident que cette contrainte peut se révéler plus que désagréable dans la mesure où la machine facilite grandement ce genre de tâche. Toutefois le lavage à la main garantira à votre couteau de conserver sa qualité autant de temps que possible. Néanmoins, cette contrainte n’est pas systématique à tous les modèles de couteau Santoku. Avec celui-ci en particulier, vous savez au moins à quoi vous attendre en matière d’entretien.
Inadapté pour les aliments solides
Un couteau Santoku a une lame fine et flexible et n’est donc pas adapté aux travaux plus difficiles comme le désossage de la viande ou d’autres choses dures. Si vous l’utilisez pour ces travaux difficiles, la lame en acier risque de s’ébrécher et votre couteau sera ruiné. Utilisez donc ce couteau pour trancher, couper en dés et hacher et laissez les tâches les plus difficiles à vos autres instruments plus appropriés. Évitez les tâches difficiles comme trancher les os de la viande ou la découpe de produits surgelés, car cela pourrait présenter un gros risque d’émoussement, voire un écaillage de la lame. Votre couteau doit glisser en douceur dans vos aliments. Si vous ressentez que vous devez exercer une forte pression, vous devrez alors opter pour un autre type de viande.
Par ailleurs, optez pour une planche à découper souple en plastique ou en bois, plutôt que pour une planche dure en marbre ou en verre. Les planches plus dures pourraient endommager le tranchant de votre couteau et ne doivent donc pas être utilisées. Si votre couteau peut rayer votre planche à découper, vous utilisez alors la planche la plus résistante. Si ce n’est pas le cas, elle est trop dure et il vous faut une planche plus souple.
Merci d’avoir lu cet article
Arrivés au terme de notre article, nous pouvons retenir que Santoku est un mot japonais qui renvoie par définition à un triple usage. Ainsi, le couteau de cuisine japonais santoku 17 cm est un outil de coupe qui peut être utilisé pour trois grandes tâches de coupe qu’on énumère en général comme étant le hachage, la découpe en dés et le tranchage. Il peut être utilisé sur la plupart des produits alimentaires, à l'exception des os et autres aliments durs, et sont souvent utilisés pour créer des tranches très fines. A la fois universel et multitâche, c’est un ustensile des plus célèbres et considéré avec raison comme le meilleur couteau de cuisine japonais. Si jusqu’ici il persiste encore un détail qui n’est pas clair dans votre esprit, n’hésitez pas à m’écrire à l’adresse armand@lemeilleuravis.com. Je me ferai un plaisir de vous en dire davantage.